L'Association Inter-Cercles

Foire aux questions

Questions fréquentes

Si l’AIC ne fait pas la distinction entre des cercles associations de fait et asbl, il n’en va pas de même pour les associations non-enregistrées à l’ULB. Nous sommes nous-même reconnus par l’ULB, et, à ce titre, nous avons l’obligation de n’accueillir que les associations enregistrées par le Conseil d’Administration de l’ULB comme membre de plein droit (avec vote, droits et devoirs). Par contre, rien n’interdit à ce que les associations non reconnues se fassent membre observateur de l’AIC (droit d’être présent et de prendre la parole en AG, pas de voter), en attendant qu’elles soient reconnues.

Si jamais vous souhaitez faire reconnaître votre cercle par l’ULB, l’AIC peut vous aider (pour la rédaction des statuts, soutien au passage en Commission culturelle…). Dans ce cas ci, pour débuter la procédure de reconnaissance, c’est par ici que ça se passe.

Nos objectifs sont repris dans notre charte fondatrice (à voir ici). Concrètement, nos objectifs sont les suivants :

1 – REPRESENTER : Représenter nos membres en Commission culturelle (Cocu), grâce à notre voix délibérative commune, en Commission de lutte contre les violences sexistes et sexuelles, au SiTO et en Commission des Affaires sociales étudiantes avec une voix consultative (au même titre que l’ACE et le Librex).

2 – RASSEMBLER : Affilier un maximum de cercles non encore représenté dans les instances de l’ULB, pour leur donner une voix institutionnelle et proposer de coordonner des projets transversaux pour promouvoir leurs activités (Université d’Automne avec le BEA et l’ACE, Journée Associative…).
Du reste, les projets transversaux portés par les membres seront également diffusés activement par l’AIC (Festival Théâtre Ouvert de Bruxelles d’OPAC, Global Village de l’AIESEC, etc).

3 – SOUTENIR : Travailler conjointement avec tous les acteurs institutionnel pertinent (Cocu, Case, ACE, ULB Infrastructures, ULB Environnement) pour défendre le projet de construction de locaux pour les cercles, et promouvoir l’accès égal à des locaux salubres pour les membres et non-membres.

4 – STRUCTURER : constituer une trésorerie de base pour alimenter notre autonomie collective, rechercher des subsides pour le bénéfice de nos membres, maintenir des facilités auprès des institutions pertinentes pour assurer à nos membres les moyens d’organiser leurs activités (compte COCOF pour la location de matériel, compte ULB pour location véhicule, etc).

L’AIC est aconfessionnelle, apartisane et pluraliste. Elle ne peut donc pas prendre position en faveur d’un Église ou d’un parti, et protège la diversité des opinions en son sein. Ce rappel étant fait, nous ne prenons officiellement position que sur des questions concernant nos membres, c’est-à-dire des questions de politique ulbiste, sans s’abstenir pour autant de participer aux réflexions de politique générale, à condition qu’elles aient un impact direct sur nos fonctionnements propres. L’AIC peut en revanche prendre les positions politiques qui auront été préalablement discutées et votées à la majorité simple en AG.

Oui, celle-ci est décidée et fixée par l’AG chaque année. À titre d’exemple, pour les années 2016-2017 et 2017-2018, un système de cotisation libre et secret entre 15-30€ a été retenu, de façon à ce qu’il n’y ait pas d’écart important entre les cotisations des cercles les mieux dotés et les plus modestes. Nous gardons bien sûr à l’esprit que l’AIC regroupe principalement des petits cercles, dont la trésorerie est souvent (très) limitée, et de ce fait, si un membre est dans l’impossibilité d’honorer sa cotisation annuelle, il doit au plus vite contacter le comité pour éviter les sanctions (perte du droit aux subsides, droit de vote, suspension…). Des situations particulières ne doivent pas être un obstacle à l’intégration ou à la participation à l’AIC. Le comité n’est pas là pour faire de l’argent sur le dos de votre cercle, et nous pouvons envisager des aménagements spécifiques au cas par cas (étalement, dérogation exceptionnelle, etc). De manière générale, l’argent ne doit pas être un frein à l’adhésion à l’AIC.

Si vous décidez de devenir membre, vous serez toujours consulté préalablement à toute prise de position, puisque tout est discuté en AG. D’un autre côté, il faut effectivement garder à l’esprit que les prises de positions publiques de l’AIC impliquent le soutien de la majorité de ses membres, mais pas nécessairement de sa totalité.

Dans tous les cas, l’AIC s’interdit inconditionnellement d’utiliser le nom ou l’image de tout membre n’y ayant pas consenti explicitement.

Si votre cercle est suspendu par l’ULB, vous conservez votre qualité de membre acquise auparavant, et vous pouvez continuer de participer comme avant, à complète égalité de statut avec les cercles en règle. Si votre cercle voit son enregistrement suspendu, le comité vous proposera de vous aider à vous relever et à réenregistrer votre cercle si tel est votre souhait.
Dans le cas d’une suppression, c’est-à-dire dans le cas d’une suspension sur deux années académiques, l’expulsion de l’AIC est automatique, l’AIC n’ayant pas vocation à abriter des associations fantômes qui pourrait paralyser son fonctionnement.
Dans tous les cas, nous vous conseillerons en amont de vous mettre en ordre auprès de Françoise LEROY francoise.leroy@ulb.ac.be, la personne responsable de la reconduction de l’enregistrement.

L’AIC encourage le règlement de tout conflit directement par l’échange et la discussion. Ceci étant posé, la fonction première de l’AIC est de défendre l’entièreté de ses membres et de leurs intérêts. Donc pour autant que le conflit ne déborde pas du cadre prévu par la loi (liberté d’expression, de pétition, etc.) ou par l’ULB (manifestation tolérée sur son terrain), et que celui-ci n’engage pas la survie même du cercle inquiété, l’AIC doit s’abstenir de prendre parti, et de trancher en faveur de l’une ou de l’autre association.

Rien de plus simple. Tout membre est libre de démissionner à moins que l’on soit en AG (afin d’éviter de perturber les votes), en envoyant par écrit la notification au comité. Le membre démissionnaire n’a pas besoin de motiver sa décision. La démission est acceptée automatiquement lors de l’AG suivante.